Remarques sur la prononciation en Walaf- Par Cheikh FALL *
La perception nous trompe souvent. Ainsi, en Walaf, les sons k ou p, perçus à la fin de certains mots, sont transcrits g ou b, selon le cas. Cela arrive fréquemment dans nos posts. Exemple : toog (s'asseoir) et jub (droit).
Nous avons l'impression, dans ces deux cas, d'entendre k et p à la fin des mots. Pour bien écrire la terminaison, ajoutons un suffixe (sëf-geen en walaf) toogal (al), toogaay (aay), jubul (ul) jubal (al), etc.
En Walaf, exception faite de AK (et), la lettre k en finale est toujours géminée (doublée). Exemples : takk (attacher), lekk (manger).
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Waaw góor. Lii de, ab seetlu bu ndaw la. Nu ngi jéggalu
Cheikh FALL
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